Esquive
à Lawrence Durrell
Qu'il est bon par moments d'occulter
la laideur écœurante, l'oppression
de nos dits-semblables embrigadés
pour se réfugier dans l'émotion.
Quand ils sont affreux et arrogants,
lorsque tout est moche, gris, repoussant,
quand rien ne va, rien ne s'arrange,
si l'amour même a un gout de revanche,
J'abdique, enfin, d'une overdose de crasse.
Autiste. De moi-même, je ferme le sas.
... silence
Je reprends le sentier féérique
au printemps perpétuel.
Les jacinthes rayonnent
d'un soleil bleu entêtant!
Ivresse rapide ... osmose ... perfection de l'instant !
Fatigué mais si fort
je souris au Tao.
Ce sentier m'a encore
permis d'aller plus haut.
Qu'on me dise froid, hors d'atteinte, distant
je réponds que la plupart du temps
je préfère ma vision schizophrène
oui, à leur réalité, leurs haines.
Ooops, 21 fev 07 , remercie Amy Lee
Sois sympa, pitié, poste un comm. pleeeaaaase !
Dis que c'est naze, que c'est du plagiat grotesque, que "dits-semblables" est un mauvais jeu de mot, mais dis-moi qqchose...
Sinon, j'en remets un, attention, je peux faire pire encore !