Nous les Dieux [Bernard Werber]

Avatar du membre
Benoit
Administrateur déconneur
Messages : 313
Enregistré le : 14 mai 2006 14:46
Localisation : Sur mon nuage...
Contact :

Nous les Dieux [Bernard Werber]

Message : # 3321Message non lu Benoit »

Image

Nous les dieux est premier volet de la Trilogie du cycle des dieux de Bernard Werber qui comporte trois tomes : Nous les dieux, Le souffle des dieux, Le Mystère des dieux.
Voici quelques présentations:

Le héros de l'histoire est toujours Michael Pinson qui après avoir été un humain (Les Thanatonautes) puis un ange (L'Empire des anges) est finalement devenu un « élève dieu ». Il est maintenant quelque part dans l'Univers, sur l'île d'Aeden. Chaque jour, un dieu différent enseigne à ces nouveaux élèves comment façonner un monde afin d'un jour devenir un dieu à leur tour. La compétition est rude dans ce monde. Ainsi, chaque jour, les derniers de la classe sont éliminés, emportés par des centaures. Ajouté à cela un mystérieux "Déicide" (tueur de dieux) faisant des ravage parmis les 144 élèves de cette nouvelle promotion d'apprentie dieu.
____________
Quelque part, loin, très loin, se trouve une île que ses habitants appellent Aeden.

Là, perchée sur un haut plateau, une ville: Olympie. Dans son coeur, une étrange institution, L'Ecole des Dieux, et ses professeurs: les 12 dieux de la mythologie grecque, chargés d'enseigner l'art de gérer les foules d'humains pour leur donner l'envie de survivre, de bâtir des cités, de faire la guerre, d'inventer des religions ou d'élever le niveau de leur conscience.

La nouvelle promotion? 144 élèves dieux qui vont devoir s'affronter à travers leurs peuples, leurs prophètes, chacun avec son style de divinité.

Mais la vie sur Aeden n'est pas le paradis. Un élève essaie de tuer ses congénères, un autre est tombé fou amoureux du plus séduisant des professeurs, Aphrodite, déesse de l'amour, et tous se demandent quelle est cette lumière là-haut sur la montagne qui semble les surveiller...

____________
[ Source ]
Ce qui fait la première différence entre un croyant et un non-croyant, c’est la capacité à douter lorsque des péripéties cruelles empoisonnent l’existence : désastres en tous genres, haine, guerres, misère, maladies, mort… Pour le non-croyant, il n’existe pas de Dieu car il n’est pas dans la nature même d’un Dieu de faire endurer à ses créatures pareilles souffrances, alors que pour le croyant, Dieu existe car il nous envoie des épreuves à surmonter pour, au bout du compte, mériter sa clémence puis accéder à sa Lumière.
Dans le roman de Werber, les jeux sont faits : les Dieux existent bien, mais ils sont comme les humains, faibles et perfectibles. Cela explique en grande partie les malheurs qui affligent leurs petites créatures…
Les héros de l’Empire des Anges se retrouvent ici à un niveau spirituel supérieur pour entrer dans leur peau d’humain à l’école des Dieux sur l’île d’Aeden…
Leurs professeurs sont issus de la mythologie grecque et l’on assistera à un véritable ballets de Dieux bien campés : Aphrodite la déesse de l’amour, le géant Atlas condamné à porter indéfiniment le monde, Chronos le Dieu du Temps, Hermès le messager des Dieux, et bien d’autres encore… Chacun va apporter aux apprentis Dieux des éléments de réflexion nécessaires à la fabrication d’une planète harmonieuse.
Les travaux pratiques s’effectuent sur une planète expérimentale, et chacun y va de sa personnalité pour conduire divinement un groupe d’humains vers son épanouissement. De célèbres apprentis se retrouvent alors en concurrence : Jules Verne, Mata Hari, Proudhon, Marylin Monroe, et bien entendu Edmond Wells, l’incontournable auteur de l’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu qui va nous distiller au fil des pages des connaissances très utiles à la compréhension de cet Aeden quelque peu déroutant.
Nous les Dieux est le premier tome d’une trilogie ambitieuse. Il fait suite aux Thanatonautes et à l’Empire des Anges. On y retrouve les mêmes héros, et toujours beaucoup d’audace imaginative dans un style vif et plein d’humour sans exclure une véritable réflexion de fond. On peut dire que Bernard Werber a de la suite dans les idées ! Le seul reproche qu’on pourrait lui faire, c’est ce sentiment qu’on éprouve par instants de déjà vu… que les inconditionnels comme moi lui pardonnent bien volontiers.


“La Terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la Terre.”

Néolitas
Utilisatrice
Utilisatrice
Messages : 195
Enregistré le : 24 mai 2006 22:56
Localisation : La plage, le soleil, les filles euh non pas les filles ... >.<
Contact :

Message : # 3357Message non lu Néolitas »

moi pour l'instant je ne lis que du bernard werber j'ai deja lu l'empire des anges je suis en train de lire nous les dieux , les fourmis et j'ai prevu de lire aussi le jour des fourmis meme si comme tu l'as dit il y a un sentiment de deja vu j'adore son style je prefere lire du bernard werber que du tom clark !
______________________________________________________
  • Image
  • C'est fout comme au fil du temps, nos paroles sont déformées ... Je trouve que l'on passe vite du simple "Bonjour!" au banal "J'suis dans la cour!!!" Les gens arrangent et analysent nos paroles au gré de leur envies, de leur sentiments ... C'est fout aussi comme on passe d'un "Je t'apprécie" à un "Je t'aime" ... Alors oui mon ami, "Je t'aime "....
© DO NOT COPY
Texte & Icons by Mzelle Yellow

Répondre

Retourner vers « Bernard Werber »