Yeux Noisette
C’était une amourette d’un soir,
Je me rappelle dans ma mémoire,
Quelques années ont passées, c’était l’été,
Une fille qui m’a interpellé pour sa beauté,
Une belle histoire commence par « Il était une fois »,
De ce conte je suis resté coit,
Cette demoiselle avait des yeux noisette,
Effilés comme une geisha en risette,
Sûrement métissée sino-japonaise,
Elle avait tout pour satisfaire,
Une chevelure noire retombante,
Un tel spectacle se vie en silence,
Des lèvres vous donnant l’envie,
D’y déposer votre bouche, je le vis,
Si fort que cette donne est ON,
Pire que si c’était la madone,
Poursuivre cette découverte du corps,
Me donne des frissons encore,
Un regard furtif posé sur sa poitrine,
Avec quelques palpitations, je chagrine,
De ne pouvoir me servir,
De cet auguste festin qui me sied à ravir,
Ventre plat nombril bien rond,
Mon sang affluait faisant des bonds,
Des hanches laissant deviner l’entrejambe,
De cette vue défaillante j’us une crampe,
Du bas des reins à ces formes rebondies,
Parfaitement symétrique qui ma séduit,
Galber ces jambes sont interminables,
De ma main ce toucher serait désirable,
La peur de la prendre par la taille,
Sûrement du à la peur qu’elle s’en aille,
Je fus surpris de ma passion soudaine,
Pour cette belle qu’on osait regarder à peine,
Sur que sa grâce et sa beauté,
Sortait tout droit d’un conte de fée,
Pourtant c’est moi qui étreignais,
Et l’embrassait sur des endroits bien ciblés,
J’apprenais à connaître sa peau lisse,
En laissant vagabonder mes mains qui glissent,
Le long de cette charpente sans fin,
Mes doigts filèrent le long des reins,
Une légère pression la fit chanceler,
Le restant à vous de deviner.
[/center][/b]C’était une amourette d’un soir,
Je me rappelle dans ma mémoire,
Quelques années ont passées, c’était l’été,
Une fille qui m’a interpellé pour sa beauté,
Une belle histoire commence par « Il était une fois »,
De ce conte je suis resté coit,
Cette demoiselle avait des yeux noisette,
Effilés comme une geisha en risette,
Sûrement métissée sino-japonaise,
Elle avait tout pour satisfaire,
Une chevelure noire retombante,
Un tel spectacle se vie en silence,
Des lèvres vous donnant l’envie,
D’y déposer votre bouche, je le vis,
Si fort que cette donne est ON,
Pire que si c’était la madone,
Poursuivre cette découverte du corps,
Me donne des frissons encore,
Un regard furtif posé sur sa poitrine,
Avec quelques palpitations, je chagrine,
De ne pouvoir me servir,
De cet auguste festin qui me sied à ravir,
Ventre plat nombril bien rond,
Mon sang affluait faisant des bonds,
Des hanches laissant deviner l’entrejambe,
De cette vue défaillante j’us une crampe,
Du bas des reins à ces formes rebondies,
Parfaitement symétrique qui ma séduit,
Galber ces jambes sont interminables,
De ma main ce toucher serait désirable,
La peur de la prendre par la taille,
Sûrement du à la peur qu’elle s’en aille,
Je fus surpris de ma passion soudaine,
Pour cette belle qu’on osait regarder à peine,
Sur que sa grâce et sa beauté,
Sortait tout droit d’un conte de fée,
Pourtant c’est moi qui étreignais,
Et l’embrassait sur des endroits bien ciblés,
J’apprenais à connaître sa peau lisse,
En laissant vagabonder mes mains qui glissent,
Le long de cette charpente sans fin,
Mes doigts filèrent le long des reins,
Une légère pression la fit chanceler,
Le restant à vous de deviner.