Yeux verts
Elle venait d’une île sublime,
Peau chocolatée simplement divine,
Née sous le soleil du tropique,
Un regard envoûtant presque mystique,
Des yeux vert clair pétillants,
Cette femme avait un sourire d’enfant,
Un charme indéniable presque insupportable,
Lorsque son regard chaud et palpable,
Voulut entrer au fond de votre âme,
On décelait la douceur d’une dame,
Des cheveux relevés couleur ébène
D’une beauté exemplaire, très saine,
Elle était là, plantée comme une statue,
Rodin n’aurait pu l’égalé, se sentant déçu,
Répondant au doux nom de Dalilha,
J’aurai voulu être le Samson de cet amour là,
Délicieusement dessiné une bouche entrouverte,
Le nez de Cléopâtre trop « Perfect »,
Belle poitrine à la Monroe, sensuel
Une chute de rein paraissant trop belle,
Des jambes interminable comme les stars,
Tout cet ensemble paraissait une plastique d’art,
Tout naturellement notre cœur implose,
Auprès d’elle nous ne somme qu’une chose,
La nature l’avait faite image de synthèse,
J’aurais pu en faire une thèse
Elle venait d’une île sublime,
Peau chocolatée simplement divine,
Née sous le soleil du tropique,
Un regard envoûtant presque mystique,
Des yeux vert clair pétillants,
Cette femme avait un sourire d’enfant,
Un charme indéniable presque insupportable,
Lorsque son regard chaud et palpable,
Voulut entrer au fond de votre âme,
On décelait la douceur d’une dame,
Des cheveux relevés couleur ébène
D’une beauté exemplaire, très saine,
Elle était là, plantée comme une statue,
Rodin n’aurait pu l’égalé, se sentant déçu,
Répondant au doux nom de Dalilha,
J’aurai voulu être le Samson de cet amour là,
Délicieusement dessiné une bouche entrouverte,
Le nez de Cléopâtre trop « Perfect »,
Belle poitrine à la Monroe, sensuel
Une chute de rein paraissant trop belle,
Des jambes interminable comme les stars,
Tout cet ensemble paraissait une plastique d’art,
Tout naturellement notre cœur implose,
Auprès d’elle nous ne somme qu’une chose,
La nature l’avait faite image de synthèse,
J’aurais pu en faire une thèse