le coeur est a prendre mais on se le refuse
riment mais ne riment à rien toutes ces phrases dont on abuse
on accuse la ruse, souvent intruse celle ci nous use
ainsi usurpés de tromperie les sentiments, d'être, refusent
jour et nuits se succedent, oui, l'espoir sert à vivre
l'attente du remede à ces meaux qui, profondément, vibrent
livre dont les pages vides restent à parcourir et remplir
libres est-on de transcrire illusions qui delivrent
cet espoir mene au sort, le moindre de ses coups nous guettant
du noir et de la malchance, l'ennui, longtemps enfouis rejaillissant
du cafard l'on sent la presence ; a grouiller, se met-il chaque instants
le ciel bleu de l envie devient gris, d'orageux nuages se propagent sur l'ocean
ses eaux agitées de pensés refoulées, foudre de triste vérité les à frappé
c'est le bain des sangs des souvenirs qui s'est laissé glisser dans l'eau salée
balayées par les éléments dechainés disparaissent ces idées
a la vie accroché, renaissance de l'espoir desespéré
le coeur toujours à prendre, mais qui donc le merite
à trop offrir celui-ci afin qu'autrui en profite
a forces de fentes maintenant il resiste
les sentiments disparaissent et n'existent