Tu veux ou tu veux pas ?
Je ne saurai vous dire quel est cette foi ou ce désespoir,
qui, me poussant vers vous, vînt troubler mon égard.
Il se peut, j'en conviens, que ma requête vous effare,
mais dans mes bras, épuisée, daignez vous endormir ce soir.
Nul n'a pouvoir d'entraver votre droit le plus sincère,
dans l'abandon de la nuit, à moi, vous refuser.
Puisqu'un philosophe le suggera, naguère,
pour votre liberté, je serai prêt à trépasser.
Si, près de moi, vous hésitiez même à vous asseoir,
n'ayez crainte d'être la cause de mon cauchemar.
Dans l'éxistence, je saurai me contenter, pour ma part,
que vous passiez toute ma vie à vous surseoir.
Je ne vous ferai point de malice ou de guerre,
en me montrant ainsi, devant vous, désemparé.
Mais je glorifie cette goutte de temps éphémère,
durant laquelle, ce fût agréable de me surprendre à rêver.
Création le: 14 fev 2007 à 22h
Par: Thierry .M
Pour: Christelle
Je ne saurai vous dire quel est cette foi ou ce désespoir,
qui, me poussant vers vous, vînt troubler mon égard.
Il se peut, j'en conviens, que ma requête vous effare,
mais dans mes bras, épuisée, daignez vous endormir ce soir.
Nul n'a pouvoir d'entraver votre droit le plus sincère,
dans l'abandon de la nuit, à moi, vous refuser.
Puisqu'un philosophe le suggera, naguère,
pour votre liberté, je serai prêt à trépasser.
Si, près de moi, vous hésitiez même à vous asseoir,
n'ayez crainte d'être la cause de mon cauchemar.
Dans l'éxistence, je saurai me contenter, pour ma part,
que vous passiez toute ma vie à vous surseoir.
Je ne vous ferai point de malice ou de guerre,
en me montrant ainsi, devant vous, désemparé.
Mais je glorifie cette goutte de temps éphémère,
durant laquelle, ce fût agréable de me surprendre à rêver.
Création le: 14 fev 2007 à 22h
Par: Thierry .M
Pour: Christelle