J'entends encore mon père me dire ... ( ça commence comme une pub pour les Werthers ) ... "On est con".
Lui non plus n'aimait pas les "on". Il était à cheval sur l'orthographe l'ancien. D'où ma phobie des fautes aujourd'hui. Quand je lis un menu au restau, je passe plus de temps à les traquer qu'à trouver ce que je vais manger...
Il faudrait p't'être ( soyons fous ) que je consulte.
Après tout, quand je me permets quelque écart d'orthographe, c'est peut-être encore le défi du Père ? Conflit freudien latent mal assumé ?
...
Toujours est-il que ta proposition est certainement la bonne : il faut tuer les "on".
Ma vague histoire de "lorsque l'on" n'est qu'une tentative désespérée, pitoyable ... grotesque ! Et qui met mal à l'aise les milliers de lecteurs quotidiens. J'en conviens.
J'entends très bien les " Ben là y s'est pas forcé le ooops" , "ooops le bien nommé" et autre " ooops et le plan Alzheimer".
Déjà, tu l'auras remarqué, j'en perds même ma majuscule. C'est bien la preuve, s'il en fut, de ma disgrâce.
Mais foin des digressions, au fond
ces tirades façon Achille Talon
ne font que tourner en rond
et me font passer pour un ...
nota : C'est vrai qu'à 4:30 du matin, souvent, je m'ennuie. Désolé
nota2 : à propos du conflit freudien, je viens de me rappeler un bouquin intéressant qui s'appelait je crois " Pourquoi j'ai mangé mon père". Un drôle de livre qui raconte la découverte du feu et ses implications au sein d'une tribu d'hommes des cavernes. Il faudrait que je le retrouve et que j'en fasse un topo dans le topic des livres.