Dans mes yeux, je vois la pluie
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Il pleut aujourd'hui,
Il a même plu toute la nuit...
Ces gouttes qui tombent de ces nuages,
Ce ne sont pas des mirages.
Je les sens couler sous mes yeux,
Je sens cette fraîcheur venue des cieux.
Je crains qu'il n'existe pas de Dieu,
Car je le dis, sinon nous serions là à deux.
Les nuages gris, le visage pâle,
Qu'est ce que c'est que ce temps détestable...
Le temps, toujours le temps...
La vie est parfois injuste et odieuse.
Je sais pourtant que tu ne seras pas heureuse
J'espère pourtant, j'espère pourtant...
A chaque goutte tombée, mon coeur se remplit,
Toujours un peu plus, jamais ne finit.
Mon coeur est comme un océan, géant,
Qui prend le dessus sur tout le reste, finalement.
Jamais l'océan ne sera vide, jamais...
Il ne fait que se remplir, mais n'est jamais vidé...
Je cacherais mes sentiments, comme je l'ai toujours fait,
Mais je ne peux pas m'arrêter de penser, oui de penser.
A toi.
A toi, je t'ai offert ma clé.
De toi je reste emprisonné.
Mon coeur m'inonde de tes pensées,
Mais je n'serais jamais noyé, je n'en aurai jamais assez...
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Il pleut aujourd'hui,
Il a même plu toute la nuit...
Ces gouttes qui tombent de ces nuages,
Ce ne sont pas des mirages.
Je les sens couler sous mes yeux,
Je sens cette fraîcheur venue des cieux.
Je crains qu'il n'existe pas de Dieu,
Car je le dis, sinon nous serions là à deux.
Les nuages gris, le visage pâle,
Qu'est ce que c'est que ce temps détestable...
Le temps, toujours le temps...
La vie est parfois injuste et odieuse.
Je sais pourtant que tu ne seras pas heureuse
J'espère pourtant, j'espère pourtant...
A chaque goutte tombée, mon coeur se remplit,
Toujours un peu plus, jamais ne finit.
Mon coeur est comme un océan, géant,
Qui prend le dessus sur tout le reste, finalement.
Jamais l'océan ne sera vide, jamais...
Il ne fait que se remplir, mais n'est jamais vidé...
Je cacherais mes sentiments, comme je l'ai toujours fait,
Mais je ne peux pas m'arrêter de penser, oui de penser.
A toi.
A toi, je t'ai offert ma clé.
De toi je reste emprisonné.
Mon coeur m'inonde de tes pensées,
Mais je n'serais jamais noyé, je n'en aurai jamais assez...
