Passé(e) par là...
J'ai ces regrets qui noient mon coeur,
Toute cette peine, toute cette douleur,
Qui me chagrine, qui me fait peur,
J'ai en moi même une telle tristesse,
Je vois ma pauvre âme en détresse!
Quand je repense à ces caresses...
Pourquoi songer à ces souffrances,
Et vouloir toujours à outrance?
Notre coeur toujours se balance!
On se replonge dans ces souvenirs,
Qu'on aurait dut laisser partir,
Qu'on aurait mieux fait de bannir...
On trouve refuge, la solitude,
Qui n'fait qu'agrandir l'inquiétude,
Nous sommes perdu, comme aux Bermudes.
Nous voilà là, sans grand espoir,
A cause de toutes ces idées noires,
Auxquelles on s'est risqué(e) à croire...
C'est le moment où l'on se dit,
Mais qu'est c'que j'ai fais de cette vie!
Pourquoi tant de mélancolie!
Mon angoisse monte, rien qu'a penser.
C'est un supplice, qui peut tuer...
Que d'avoir ce nuage parfumé!
Que d'avoir ces rêves colorés!
Ce que je n'reverrais jamais...
Ce que j'ai aimé, adoré...
J'ai ces regrets qui noient mon coeur,
Toute cette peine, toute cette douleur,
Qui me chagrine, qui me fait peur,
J'ai en moi même une telle tristesse,
Je vois ma pauvre âme en détresse!
Quand je repense à ces caresses...
Pourquoi songer à ces souffrances,
Et vouloir toujours à outrance?
Notre coeur toujours se balance!
On se replonge dans ces souvenirs,
Qu'on aurait dut laisser partir,
Qu'on aurait mieux fait de bannir...
On trouve refuge, la solitude,
Qui n'fait qu'agrandir l'inquiétude,
Nous sommes perdu, comme aux Bermudes.
Nous voilà là, sans grand espoir,
A cause de toutes ces idées noires,
Auxquelles on s'est risqué(e) à croire...
C'est le moment où l'on se dit,
Mais qu'est c'que j'ai fais de cette vie!
Pourquoi tant de mélancolie!
Mon angoisse monte, rien qu'a penser.
C'est un supplice, qui peut tuer...
Que d'avoir ce nuage parfumé!
Que d'avoir ces rêves colorés!
Ce que je n'reverrais jamais...
Ce que j'ai aimé, adoré...