Au Paradis d'Ange Rouge

Je t'aime, je t'aimerais
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J'ai osé venir te parler, t'écouter.
J'ai osé dire que je t'aimais.
Jamais je n'aurais imaginé,
Moi qui d'habitude suis si réservé.
Je voulais te dire que je t'aiderais,
Te dire que je t'aime, je t'aimerais.
Juste pour ce que tu es,
Juste pour tes jolies pensées,
Juste pour toi, mon adorée.
Non je n'aurais jamais imaginé,
Pouvoir autant partager,
Trouver tant de similarités,
Tant de vérités, d'honnêteté.
Non, ça alors je n'aurais jamais pensé.
Je ne sais pas ce qui m'a pris de t'aimer,
Mais je t'aime, je t'aimerais.
Je ne souhaite pas t'ennuyer,
Mais je ne voudrais pas te laisser.
Je ne veux pas te faire pleurer,
Mais je sais que je ne peux t'oublier.
Il y a tant de difficultés,
Je continuerais pourtant d'espérer.
Non pas que j'en sois obligé,
Mais juste parce que je t'aime, je t'aimerais
A toujours, à jamais, pour l'éternité.
En réalité, ou dans mes rêves étoilés,
Tu ne quitteras jamais mes pensées.
Je ne cesserais jamais de t'écouter,
Je ne cesserais jamais de te parler,
Peu importe l'endroit, le quartier.
Je resterais dans ma vallée,
Je sortirais juste dans ta forêt,
Dans l'herbe verte, pour m'allonger et rester,
A penser, à penser, à penser,
Que je t'aime, je t'aimerais.
Pour moi ne soit pas attristée,
Car ce n'est pas ta faute, ce qui s'est passé.
J'en suis certain, c'est tellement vrai,
Tu t'es juste montrée toi, ce que tu es.
Ne verse pas tes larmes s'il te plait,
Car ce n'est pas de ta faute, et tu le sais,
Que je t'aime, je t'aimerais...

C'est une merveilleuse déclaration que tu nous a

la merci