Un homme à la mer
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Il a plongé,
De son coeur, tout entier.
Il n'avait sans doute pas pensé,
Qu'un beau jour il n'aurait plus pied.
Qu'un beau jour il pourrait s'y noyer.
Ses larmes, sa joie,
Se mélangent à la peine.
De ce si fier navire,
Il est le capitaine.
Trouver le nouveau monde,
Terre magique qui n'existe,
Que dans son esprit triste.
Il n'y pense qu'une seconde.
De noyer sa tristesse, il essaie.
Mais les vagues de l'océan la ramènent,
Sur le sable mouillé, où sans cesse,
La marée l'efface... mais les vagues la remettent ?
De voguer il ne peut s'arrêter.
Le vent est favorable, et les voiles sont gonflées.
La mer est plutôt calme, et le ciel dégagé.
Il n'y a qu'un nuage, celui de ses pensées.
Il n'y a qu'un cordage, il y reste accroché.
De naviguer, il veut continuer,
Car de toutes ses forces il reconnaît,
Qu'un beau jour il saura nager.
Qu'un beau jour il pourra s'amarrer.
Qu'il n'aura plus besoin de ce voilier.
Peut-être préférera-t-il s'envoler...
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Il a plongé,
De son coeur, tout entier.
Il n'avait sans doute pas pensé,
Qu'un beau jour il n'aurait plus pied.
Qu'un beau jour il pourrait s'y noyer.
Ses larmes, sa joie,
Se mélangent à la peine.
De ce si fier navire,
Il est le capitaine.
Trouver le nouveau monde,
Terre magique qui n'existe,
Que dans son esprit triste.
Il n'y pense qu'une seconde.
De noyer sa tristesse, il essaie.
Mais les vagues de l'océan la ramènent,
Sur le sable mouillé, où sans cesse,
La marée l'efface... mais les vagues la remettent ?
De voguer il ne peut s'arrêter.
Le vent est favorable, et les voiles sont gonflées.
La mer est plutôt calme, et le ciel dégagé.
Il n'y a qu'un nuage, celui de ses pensées.
Il n'y a qu'un cordage, il y reste accroché.
De naviguer, il veut continuer,
Car de toutes ses forces il reconnaît,
Qu'un beau jour il saura nager.
Qu'un beau jour il pourra s'amarrer.
Qu'il n'aura plus besoin de ce voilier.
Peut-être préférera-t-il s'envoler...